Ce poulet de Bresse au Macvin est une variante du poulet ou coq au vin jaune. J’ai remplacé le vin jaune par du macvin qui apporte une note légèrement sucrée plus douce et que le vin jaune et s’accorde bien avec la volaille et les champignons.
Poulet de Bresse au Macvin, morilles et girolles pour 6 personnes
Ingrédients :
- 6 cuisses de poulet de Bresse jaune
- 1 oignon rouge
- 3 cuillères à soupe d’Huile d’olive + 1 pour les champignons
- Sel, poivre du moulin
- 1 échalote
- 300 g de Girolles
- 200 g de Morilles séchées
- 1 gousse d’ail finement ciselé
- 1 cuillère à soupe de persil haché
- 20 cl de crème
- 25 cl de Macvin + 10cl pour les champignons.
Faite bouillir les morilles séchées dans 50 cl d’eau pendant 10 minutes. Récupérer avec une écumoire pour laisser le sable au fond de la casserole. Rincer plusieurs fois et égoutter.
Préchauffer le four à 200°
Dans un plat allant au four, mettre les cuisses de poulet. Arroser avec les 3 cuillères d’huile d’olive. Peler et couper l’oignon rouge en lamelles et déposer autour des cuisses de poulet. Saler et cuire 30 minutes à 200°.
Pendant ce temps, préparer les champignons.
Ciseler finement l’échalote et faire dorer dans l’huile d’olive. Ajouter les girolles et laisser cuire 10 minutes. Déglacer avec les 10cl de Macvin et ajouter les morilles égouttées, l’ail et laisser cuire 10 minutes. Ajouter la crème et le persil. Saler, poivrer et laisser en attente.
Sortir le plat du four et déglacer avec le Macvin. Baisser le four à 180° et remettre 10 minutes.
Au bout de ce temps, verser les champignons sur les cuisses de poulet et terminer la cuisson une dizaine de minutes. Il faut adapter la cuisson en fonction de la taille des cuisses de poulet.
Rectifier l’assaisonnement et servir avec un riz blanc ou des pâtes fraiches.
Mon p’tit grain d’sel
Il est bien évident que si vous avez des morilles fraiches, c’est bien meilleurVous pouvez bien sur remplacer le Macvin par un vin jaune ou un côte du Jura.
Merci Denise pour cette recette salivante. Elle remplace l’épaule d’agneau confite ou le gigot tradi mais peu s’adjoindre comme je l’ai connue à ces deux plats différents. Une volaille et l’agneau ensuite. C’éatit l’époque où on était ancré à une table alléchante d’entrées, de poisson blanc crémé, de volaille dorée, d’agneau confit, de fromages de chèvre et de desserts en concurrence de gourmandise. L’ensemble arrosé de vins idoines à ce festin sans omettre le café arôme et la petite goutte pousse rapière. C’était le monde des adultes tenace sous la dent, disert parce que satisfait. J’ai vécu ces moments assis sur la chaise de paille et en démangeaison de quitter celle-ci pour rejoindre les copains eux aussi dans l’attente de l’esquive salutaire.
peu = peut
c’était